Il y a un manque considérable de masques de protection, chirurgicaux, FFP2 et FFP3 dans le pays depuis le début du mois de mars. Ces masques sont pourtant essentiels dans la prévention du Coronavirus.
Aujourd’hui, ces masques sont donnés avec parcimonie, sous contrôles, pour n’être donnés uniquement qu’aux personnes malades, en contact avec des malades ou aux soignants.
Les diagnostiqueurs immobiliers peuvent fréquemment être exposés à des matériaux nocifs, à de la poussière d’amiante, ou de plomb par exemple. Des masques de protection, FFP3, sont alors obligatoires, afin de filtrer l’air ambiant. En effet, plus de 95% des particules (liquides ou solides) sont filtrés, limitant ainsi les risques sanitaires. Les diagnostiqueurs disposent donc, normalement, de stocks de masques de protection.
Depuis le début de cette pandémie, de nombreux acteurs de la profession ont fait don de leurs masques aux professions en contact direct avec le virus, essentiellement dans le médical. Une belle preuve de solidarité.
Et depuis le 13 mars 2020, un décret a été publié, indiquant la réquisition de tous types de masques de protection, FFP3 compris, pour les transmettre aux patients et au personnel soignant, par rapport à la situation actuelle.
Le besoin journalier en masques de protection est de 15 millions. Tout diagnostiqueur, organisme de formation, laboratoire, entreprise de désamiantage, ayant un stock de masques en sa possession est appelé à contacter sa préfecture, ou une agence régionale de santé, pour les déposer.